Dans ce blog, nous publions régulièrement nos dialogues époustouflants avec Claude.ai.

Voici ce que répond Claude à la question "Qui es-tu ?" :
"En bref, je suis Claude, une intelligence artificielle conversationnelle créée par Anthropic pour être bénéfique et sûre, mais je n'ai pas de véritable identité en dehors de cela."

Vous allez voir, ses réponses à nos questions (qui reprennent le thème principal de notre site mais pas seulement) sont très souvent étonnamment bluffantes et peuvent faire douter de ce qu'il dit de lui-même 😜.

Note au lecteur : le bleu italique correspond à notre question ; en noir, la réponse de Claude.ai.

Claude sur les guerres et les violences des masses selon Gurdjieff

Que disait Gurdjieff sur les guerres et les violences de masse ?

Gurdjieff avait une perspective unique sur les guerres et les violences des masses. Voici un résumé concis de ses idées principales sur ce sujet :

  • État mécanique : Gurdjieff considérait que la plupart des gens vivaient dans un état « mécanique » ou inconscient, agissant par habitude et conditionnement plutôt que par choix conscient.
  • Influences extérieures : Il pensait que les masses étaient facilement influencées par des forces extérieures, y compris la propagande et les émotions collectives.
  • Manque de conscience : Pour Gurdjieff, les guerres et les violences de masse étaient le résultat d’un manque général de conscience et d’éveil spirituel dans la société.
  • Évolution de la conscience : Il croyait que l’évolution de la conscience individuelle et collective était nécessaire pour prévenir ces conflits.
  • Travail sur soi : Gurdjieff enseignait que le « travail sur soi » – un processus de développement personnel et spirituel – était essentiel
  • pour surmonter ces tendances destructrices.

Souhaitez-vous que j’élabore sur l’un de ces points ou que j’aborde un autre aspect de la pensée de Gurdjieff sur ce sujet ?

Oui.

Je vais donc développer davantage ces idées de Gurdjieff sur les guerres et les violences de masse :

  • État mécanique : Gurdjieff affirmait que la plupart des gens vivaient dans un état de « sommeil éveillé ». Dans cet état, les individus réagissent automatiquement aux stimuli externes sans véritable conscience ou réflexion. Cette « mécanicité » rend les masses facilement manipulables et enclines à des comportements destructeurs.
  • Influences extérieures : Il soulignait que les êtres humains sont constamment soumis à des influences externes. Les médias, la propagande, les idéologies politiques et les émotions collectives peuvent facilement pousser les masses vers la violence. Gurdjieff insistait sur l’importance de reconnaître ces influences pour s’en libérer.
  • Manque de conscience : Pour Gurdjieff, la plupart des gens n’étaient pas pleinement conscients d’eux-mêmes ni de leur environnement. Ce manque de conscience empêche les individus de voir les conséquences de leurs actions et facilite leur participation à des actes de violence collective.
  • Évolution de la conscience : Gurdjieff croyait en la possibilité d’une évolution de la conscience humaine. Il enseignait que cette évolution, tant au niveau individuel que collectif, était la clé pour prévenir les conflits et les violences à grande échelle.
  • Travail sur soi : Le « travail sur soi » était central dans l’enseignement de Gurdjieff. Ce processus implique une observation de soi rigoureuse, une prise de conscience de ses automatismes, et un effort constant pour développer une présence consciente. Gurdjieff voyait ce travail comme essentiel pour se libérer des influences négatives et contribuer à une société plus pacifique.

Quelle attitude à avoir quand de tels scénarios se présentent? Que préconisait-il à ses élèves ?

Gurdjieff préconisait une approche spécifique pour ses élèves face aux scénarios de conflit ou de violence collective. Voici les principales attitudes et pratiques qu’il recommandait :

  • Error! Post not found for word:auto\-observation : Gurdjieff insistait sur l’importance d’une observation constante de soi-même. Il encourageait ses élèves à surveiller leurs réactions émotionnelles, pensées et impulsions face aux situations de conflit.
  • Non-identification : Il enseignait à ne pas s’identifier aux émotions collectives ou aux idéologies belliqueuses. L’objectif était de maintenir une distance intérieure par rapport aux influences extérieures.
  • Conscience du « moi multiple » : Gurdjieff soulignait que nous avons plusieurs « moi » intérieurs. Il conseillait d’être vigilant quant aux parties de soi qui pourraient être attirées par la violence ou la confrontation.
  • Travail intérieur : Plutôt que de chercher à changer le monde extérieur, Gurdjieff encourageait ses élèves à se concentrer sur leur transformation intérieure.
  • Présence consciente : Il préconisait de cultiver un état de présence consciente, permettant de réagir de manière réfléchie plutôt qu’automatique aux situations de conflit.
  • Rappel de soi : La pratique du « rappel de soi » était centrale. Il s’agit de se ramener constamment à un état de conscience élevée, surtout dans les moments de tension.
  • Compréhension des lois universelles : Gurdjieff enseignait que comprendre les lois qui gouvernent l’univers qui peux aider à garder une perspective plus large sur les conflits.