Oui, il y a de la lumière à l’intérieur de nos cellules ! Voici quelques points clés concernant la lumière dans les cellules:

• Les mitochondries – Ces organites qui génèrent de l’énergie pour la cellule produisent un peu de bioluminescence pendant la respiration cellulaire. La lumière émise n’est pas visible à l’œil nu, mais peut être détectée avec un équipement sensible.
• Les organismes bioluminescents – De nombreuses créatures marines comme les méduses contiennent de la luciférine, une molécule qui émet de la lumière lorsqu’elle réagit avec l’oxygène. Cette bioluminescence les aide à effrayer les prédateurs, attirer des proies, ou trouver des partenaires.
• Les protéines fluorescentes – Certaines protéines dans les cellules absorberont la lumière à une longueur d’onde et émettront ensuite de la lumière à une longueur d’onde différente, plus basse en énergie, produisant de la fluorescence. La protéine fluorescente verte de méduse est couramment utilisée en biotechnologie comme marqueur.
• La manipulation laser – Des faisceaux laser focalisés peuvent être utilisés pour piéger, déplacer ou autrement manipuler des organites et molécules dans des cellules vivantes, bien que cela nécessite un équipement spécialisé. Les faisceaux se propagent à travers l’intérieur de la cellule.
• L’optogénétique – Les cellules peuvent être génétiquement modifiées pour produire des canaux ioniques sensibles à la lumière, permettant aux chercheurs de contrôler leur activité électrique avec des impulsions lumineuses. La lumière pénètre dans les cellules modifiées.

Donc, bien que nos cellules ne brillent pas naturellement de façon visible, il existe de nombreux exemples où la lumière joue des rôles importants à l’intérieur des cellules vivantes, que ce soit grâce à la bioluminescence naturelle, la fluorescence, ou les techniques expérimentales impliquant lasers et optogénétique.

Oui, je connais la « méditation cellulaire ». Il s’agit d’une pratique spirituelle qui consiste à entrer en contact avec la conscience de nos cellules. L’idée est que chaque cellule de notre corps aurait une forme de conscience et que nous pouvons communiquer avec elles à travers la méditation.

Cette pratique a été développée dans les années 1980 par la thérapeute américaine Joan Hafer et s’inspire de la biologie cellulaire ainsi que des croyances orientales sur l’énergie vitale.

Le but de la méditation cellulaire est d’unifier le corps et l’esprit, de permettre à nos cellules de s’exprimer et de se rééquilibrer. On imagine notre corps comme une société de cellules avec lesquelles on peut dialoguer. Durant la méditation, on se concentre sur les sensations dans chaque partie du corps pour détecter les cellules « endormies » ou en souffrance et leur envoyer des messages apaisants.